Généralités sur la septicémie
Infectiologie fébricule
On parle de :
Petite fièvre : 37,7°c
Fièvre : > 38°c.
Les voies de la prise de température :
- La voie axillaire : on doit rajouter 0,5°.
- La voie orale.
- La voie rectale.
Les élévations physiologiques de la température se voient :
- Après un effort.
- Pendant la prise des repas riches de calories, exp. glucose.
- Pendant l’ovulation.
- En cas de cou de soleil.
L’élévation pathologique se voit au cours :
- De la tuberculose.
- L’hyperthyroïdie.
On peut distinguer :
- Une fièvre en plateau.
- Une fièvre en plateau qui connaît un osait.
Cette dernière s’observe au cours des états septicémiques, elle connaît de grand osait et particulièrement au cours des septicémie à BG (-).
Au cours des septicémie à BG (-) on peut retrouver une hypothermie (en rapport avec un dérèglement des centres régulateurs de la température par le germe lui-même ou des endotoxines.
On doit faire une enquête étiologique qui commence par un interrogatoire à la recherche d’une notion de contage (familiale ou professionnelle).
L’examen physique du malade à la recherche de signes d’orientation étiologique.
On peut retrouver un herpès naso – labial (bouton de fièvre), dissociation entre le pouls et la température, un rash cutané (bouton rouge qui sort d’une infection généralisée à miningocoque (miningocoximie)). Une lésion cutanée telle que un furoncle panaris orientant vers du staphylocoque orinus.
Des manipulations quelles soit dentaire, digestives, des perfusions, feront rechercher soit un staphylocoque, soit un BG (-) et en milieu hospitalier le pyocyanique (donne du pus bleu hautement contagieux).
Les examens complémentaires :
1 – l’hémogramme : une forte hyper leucocytose ou leucopénie.
2 – l’hémoculture : répétée et envoyée le plus rapidement au laboratoire pour mise en culture.
Les hémocultures sont souvent négatives, on préfère des séro Dc (la sérologie).
En cas de lésions cutanéo – muqueuse, on préfère des prélèvements locaux.
Le choc infectieux :
Ou syndrome malin des maladies infectieuses, associé à la septicémie des localisations vescérales secondaires de germe (abcès métastatique), et souvent une nécrose bilatérale des 2 reins responsable d’une insuffisance rénale et parfois un tableau de CIVD (coagulation intra vasculaire disséminée). A ce tableau peut s’associer également une hépatite fulminante avec un écter non conjugué et parfois un tableau d’émiephalopathie hépatique.
Le plus souvent le traitement repose sur des arguments d’ordre épidémiologique, soi d’ordre de probabilités.
Le traitement :
1 – Symptomatique :
- Les solutés (perfusions)
Les drogues vasocompréssives dérivées des catécholamines (dopamine, dobutamine, dobutrexe), ce sont des drogues qu’on donne pour maintenir la volumie.
- Oxygénothérapie.
- Nursing : changement de position pour éviter les escarres.
- Des massages par du TALC.
- Le gavage.
2 – Etiologique :
Logiquement il doit reposer sur les donnés de l’hémoculture et surtout l’antibiogramme mais le plus souvent il sera guidé par les arguments précités.
Les ATB :
Pour traiter un germe banale, on donne une ß lactamine et un anti staphylocoque.
Si c’est du staphylocoque (infection généralisée du staph : septicémie)., il faut au moins 2 anti staphylocoque (Bristopen + Gentamycine).
Si non ; céphalosporine associées ou non à d’autres ATB.
Dans touts les cas au moins 2 ATB et à action synergique.
Les corticoïdes :
Constituent souvent un traitement d’appoint associé aux ATB.
Au moment ou`le patient frissonne : bactériémie
En cas de virus : virémie
L’hémoculture peut se faire à n’importe quel moment sans attendre la bactériémie.
La fièvre rémittente nocturne :
Elle connaît de oscillait nocturne et cette fièvre rémittente quotidienne est synonyme de suppuration profonde : abcès viscéraux ou ……….septique
Tumor, rebord, colore, dolore, l’articulation est superficielle.
L’hémogramme retrouve une hyper leucocytose à PNE.
VS très accélérée.
La Rg : le pus peut bouffer l’os et le cartilage
Traitement :
- drainage.
- Antibiogramme.
Une arthrite septique sa s’immobilise.
NB :
Au cours des septicémies il existe souvent un de bord splénique réalise un petite splénomégalie molle et sensible.
Cette splénomégalie est commune à touts les états septicémiques.
0 commentaires:
Enregistrer un commentaire