C’est une affection bronchique, il s’agit d’une inflammation des branches caractérisée également par une hyper réactivité bronchique, puis sécrétion par des mastocytes d »histamine ayant un effet broncho constricteur (spasme bronchique) à l’origine du syndrome obstructif (l’air rentre facilement mais sort difficilement).
La crise d’asthme évolue en 3 phases :
1- la phase du bronchospasme :
Ou phase sèche, cette phase est souvent caractérisée par des prosyndroes (avant symptômes) tel que l’inquiétude suit à une exposition (tabagisme, poussière de vendredi..), puis survient le bronchospasme avec :
Bradypnée expiratoire, avec cral expiratoire diffus sibilant et gène respiratoire et blocage.
Gène thoracique en expiration.
2- phase catarrhale : écoulement généralisée.
Ou phase d’hyper sécrétion bronchique au cours de la quelle la muqueuse bronchique va sécréter du mucus ce qui va contribuer dans un premier temps à exagérer l’importance des cral et de la distorsion thoracique puis intervient la phase catarrhale proprement dite au cours de la quelle le produit de sécrétion muqueuse va être expiratoire ou craché sous forme d’expictoration muqueuse, visqueuse composée de moules bronchique que le malade n’arrive pas à écraser sous les dents et de couleur blanchâtre.
L’expictoration va libérer progressivement le malade entraînant une disparition progressive de la dyspnée expiratoire et disparition des crals sibilant.
Examens complémentaires : le diagnostic repose sur
L’interrogatoire et l’examen physique
Des tests pharmacodynamiques sont utilisés en milieu spécialisé, ils visent à recréer le bronchospasme : test à l’Acétylcholine suivit dés l’apparition de syndrome obstructif et après tests fonctionnels respiratoire suivit d’une injection d’adrénaline.
Traitement : repose essentiellement
AINF essentiellement des corticoïdes pendant une courte durée suivit des broncho – dilatateurs (ventoline).
On peut tenter une enquête allergique pour rechercher l’allergène responsable des crises
Age :
Sujet jeune. (À partir de 4 ans.)
NB : la rougeole
Caractérisée par le signe du KOPLIK ; cous cous ou petit grains qui se développent en regard des glandes salivaires (énanthème). La chaleur favorise l’apparition d’exanthème éruptif morbiliforme.
Il existe 2 complication majeur de la rougeole : l’encéphalite avec risque de convulsion et retard psychomoteur et SDRA ; syndrome de détresse respiratoire aigue.
Le traitement : la vaccination.
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